Lors du premier confinement, je suis allée à la rencontre des habitants d’un éco-lieu. Situé aux confins du monde rural, l’endroit apparaît alors comme une oasis de résilience pour des urbains qui ont décidé de quitter la ville. Fonctionnant en vase clos, loin du chahut d’une société ballotée par la crise sanitaire, les petites familles traversent cette étrange période au coeur de la nature. Leur quotidien s’organise alors entre chantiers participatifs et aménagement du jardin commun.






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